Le Guide de l'employeur associatif sanitaire et social propose :
- 47 études thématiques,
- plus de 250 modèles de documents directement exploitables (contrat, lettre, etc.).
& intègre :
- 4 conventions collectives,
- 2 branches professionnelles.
Régulièrement mis à jour, il prend en compte les changements législatifs, réglementaires, conventionnels et les enseignements de la jurisprudence.
L'infraction d'outrage sexiste a été définie par la loi n°2018-703 du 03/08/2018 comme le fait d'imposer à une personne tout propos ou comportement à connotation sexuelle ou sexiste qui soit porte atteinte à sa dignité en raison de son caractère dégradant ou humiliant, soit crée à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.
Cette infraction était punie d'une amende de 4e classe (750 €), voire d'une contravention de 5e classe (1 500 €) en cas de circonstances aggravantes ( article 621-1 du Code pénal). Toutefois, la loi n°2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur a transformé la contravention de 5e classe en cas d'outrage sexiste aggravé en un délit devenant délit d'outrage sexiste et sexuel (article 222-33-1-1 du Code pénal).
Dans le même temps, le législateur avait annoncé la parution d'un décret devant reprendre l'infraction d'outrage sexiste simple, donc hors circonstances aggravantes, à compter du 1er avril 2023.
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Les avenants 54, 55 et 56 portant sur la valeur du point, la prévoyance et la rémunération des salariés en alternance ont été agréés. Deux d'entre eux l'ont été de façon « tacite ».
En savoir plusEn l'espèce, un salarié licencié réclamait le paiement de dommages-intérêts en raison du manquement de son employeur à son obligation de sécurité. Le salarié déclarait avoir une charge de travail excessive.
Sa demande est rejetée par la Cour d'appel. Selon elle, aucun manquement n’était imputable à l’employeur qui ne méconnaissait donc pas l’obligation de sécurité.
En savoir plusLes avenants n°50 et n°53 ont fait l'objet d'un arrêté d'extension.
En savoir plusUn Décret du 17 avril 2023 acte l’entrée en vigueur de la présomption de démission en cas d’abandon de poste.
En effet, le texte vient préciser l’article L.1237-1-1 du code du travail, lequel dispose que le salarié qui a abandonné son poste et ne reprend pas le travail après avoir été mis en demeure est présumé avoir démissionné.
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