Le Guide de l'employeur associatif sanitaire et social propose :
- 47 études thématiques,
- plus de 250 modèles de documents directement exploitables (contrat, lettre, etc.).
& intègre :
- 4 conventions collectives,
- 2 branches professionnelles.
Régulièrement mis à jour, il prend en compte les changements législatifs, réglementaires, conventionnels et les enseignements de la jurisprudence.
Dans cette affaire, un salarié avait été licencié pour ne pas avoir informé son employeur d’une situation de cumul d’emplois qui avait conduit à un dépassement des durées maximales de travail. Toutefois, le salarié avait régularisée la situation au cours de la relation de travail en fournissant notamment une attestation de double emploi.
La question est donc la suivante: dans ce contexte, le dépassement de la durée maximale du travail du fait du cumul d’emplois justifie-t-il un licenciement?
En savoir plusA compter du 15 mai 2023 l'obligation vaccinale contre la covid-19 est suspendue pour l'ensemble des professionnels qui y étaient assujettis, conformément aux recommandations émises par la Haute Autorité de Santé le 29 mars dernier.
En savoir plusDans cette affaire, un directeur des ressources humaines et de la communication au sein d'une association a été licencié après un arrêt de travail. Il a saisi les juges d'une demande de paiement d’heures supplémentaires. Toutefois, l'employeur lui a opposé sa qualité de cadre dirigeant, au regard des fonctions qu’il exerçait.
En savoir plusL'infraction d'outrage sexiste a été définie par la loi n°2018-703 du 03/08/2018 comme le fait d'imposer à une personne tout propos ou comportement à connotation sexuelle ou sexiste qui soit porte atteinte à sa dignité en raison de son caractère dégradant ou humiliant, soit crée à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante.
Cette infraction était punie d'une amende de 4e classe (750 €), voire d'une contravention de 5e classe (1 500 €) en cas de circonstances aggravantes ( article 621-1 du Code pénal). Toutefois, la loi n°2023-22 du 24 janvier 2023 d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur a transformé la contravention de 5e classe en cas d'outrage sexiste aggravé en un délit devenant délit d'outrage sexiste et sexuel (article 222-33-1-1 du Code pénal).
Dans le même temps, le législateur avait annoncé la parution d'un décret devant reprendre l'infraction d'outrage sexiste simple, donc hors circonstances aggravantes, à compter du 1er avril 2023.
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Les avenants 54, 55 et 56 portant sur la valeur du point, la prévoyance et la rémunération des salariés en alternance ont été agréés. Deux d'entre eux l'ont été de façon « tacite ».
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